Dans une invitation ouverte à s'aimer soi-même avant les autres, nous collaborons avec le mannequin, athlète et activiste Lauren Wasser (anciennement connue sous le nom de « Impossible Muse ») à l'approche de la Saint-Valentin pour célébrer chacun de nos voyages personnels vers l'acceptation de soi et la confiance en soi.

Elle nous a parlé de sa vie, a partagé sa liste de gratitude et a décrit ce que l'amour signifie pour elle en 2025.

Depuis qu'elle a été victime du Syndrome de Choc Toxique Menstruel en 2012, qui l'a presque conduite à la mort et à l'amputation des deux jambes, et qu'elle a retrouvé sa force et sa confiance en elle, Wasser s'est donné pour mission de sensibiliser et responsabiliser les femmes, tout en suivant son propre chemin vers l'amour de soi. Elle a déclaré : « Les lettres d'amour parlent de s'approprier soi-même, ce que j'ai l'impression d'incarner. Je pense que c'est ce qui nous rend tous uniques et spéciaux à notre manière».

Elle raconte son parcours de guérison après son opération : « J'ai dû faire le deuil de la personne que j'étais parce qu'elle n'existe plus. C'est juste une version différente de moi-même. Mais c'est la vie. Personne ne devrait rester le même. Nous évoluons en tant qu'êtres humains et c'est la beauté de la vie ». Elle ajoute : « Acceptez qui vous êtes et tout ce que vous avez traversé, cela fait partie du voyage de la vie qui vous aide à façonner la personne que vous êtes aujourd'hui... tout ce que vous avez traversé peut servir de carburant et vous propulser vers la version de vous-même que vous devez être ».

Elle se fiche de la Saint-Valentin : « Je pense que l'on devrait se sentir aimé et valorisé par la personne avec laquelle on est tous les jours, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, cela ne devrait jamais être qu'une fête, vous savez ». Elle explique : « Pour moi, le romantisme, c'est d'abord et avant tout s'aimer soi-même avant d'aimer quelqu'un d'autre. Elle ajoute : « J'aime que Bluebella soit synonyme de pouvoir personnel, ce sentiment de se regarder dans le miroir et de se dire : wow, je suis belle et sexy dans ce vêtement et c'est pour moi, pas pour quelqu'un d'autre ».

La gratitude est le superpouvoir de Wasser : « Je ne devrais pas être ici, j'avais 1 % de chances de survie. Le fait que je sois en vie et en bonne santé est une bénédiction en soi ». Elle ajoute : « Je me lève tous les jours et je peux être ce que je veux, courir, faire des randonnées et toutes les choses que j'aime faire. C'est l'impossible que j'ai réussi à surmonter pour pouvoir vivre cette belle vie ».